Lorsque tes silences sont plus étirés, je sens
Qu'il faut te laisser glisser plus loin
Ne même pas agiter la main
Et pourtant
Aussi sûrement que l'eau va à la rivière
Je cherche toujours à revenir vers toi
When your silences are more stretched,
I feel I must let you go away
Not even move my hand
But
As surely as the water goes to the river
I always try to get back to you
Je ne te l'ai jamais dit, je crois, sans doute parce que je n'aime pas sentir en moi cet orgueil bête et suffisant, ce petit côté mégalo à deux balles... Mais souvent, quand je lis tes mots, c'est comme s'ils étaient pour moi... Et je ne saurais dire pourquoi, mais au moins le temps que je chasse cette idée pour revenir à ton chant, elle me fait du bien, l'idée...
RépondreSupprimerBonne journée à toi
Merci Bifane, quand on écrit (tu le sais bien), on écrit à quelqu'un, mais on écrit aussi à toutes les âmes qui ont soif du même chant...c'est pompeux ce que je dis là, mais je ne sais pas le dire autrement ;) ... et si les mots peuvent toucher comme une main amie qui se pose parfois un instant sur nos épaules, il faut fermer les yeux et juste, être heureux de sentir cette main. Ce n'est pas la première fois que nous nous touchons Bifane ;) Quelle belle journée oui ;))
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