Les songes se nourrissent des ombres, Celles-ci se sont détachées des yeux, Les pupilles agrandies dans le sombre, C'est dans les rêves que l'on voit mieux.
Tu roules, équilibriste, d'une sphère, Concentres dans la tête tout le ciel, son bleu Naïveté d'un regard grand ouvert, Tout un monde poreux -
On ne distingue plus ce qui est de ce qui a été . Chaque matin, on renaît
Il semble que l'horloge soit arrêtée : C'est l'heure où les mirages, S'échappent de leur cage .
RépondreSupprimerLes songes se nourrissent des ombres,
Celles-ci se sont détachées des yeux,
Les pupilles agrandies dans le sombre,
C'est dans les rêves que l'on voit mieux.
Tu roules, équilibriste, d'une sphère,
Concentres dans la tête tout le ciel, son bleu
Naïveté d'un regard grand ouvert,
Tout un monde poreux -
On ne distingue plus ce qui est
de ce qui a été .
Chaque matin, on renaît
Il semble que l'horloge soit arrêtée :
C'est l'heure où les mirages,
S'échappent de leur cage .
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RC - sept 2015