16 novembre 2012 VDI
Et je m'en fous bien si ses ailes sont trop grandes
S'il monte si haut que le vertige me prend
Que nos jambes nous trahissent et s'emmêlent sans qu'on n'y prenne garde
Alors que tout le monde nous regarde
Je m'en fous bien que son monde soit si beau
Que pour le décrire je ne trouve pas de mots
S'il n'y en a aucun il me donnera la main où s'accroche parfois le carnet bleu
S'y nichera une fleur musicale
Un désert de verdure pâle
Dont je serai l'animale parure
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