dans tes yeux s'ouvre une bouche immense
un lit s'y mouille d'amour odorant et chaud
des mains plongent en avant de nous
bien plus loin un paysage nouveau se déploie
océan infini où toutes les armes coulent
où le sable rejoint les anémones
où la pluie ne fait plus rien pousser
je sais la profondeur où tu te noies
j'y suis allée moi aussi
et n'en suis jamais revenue
J'aime ta manière de dire, elle me séduit, me captive. Je tenais à te dire combien tu me plais en poésie.
RépondreSupprimerJ'ai usé presque des mêmes mots que toi il y a 13 ans, pour parler de ma dépression.
nous usons des mots mais ils ne s'usent jamais
RépondreSupprimermerci Dé, grand merci profond et chaud